SI internalisé : ma stack

Internaliser son système d’information, ce n’est pas simplement développer une application ou écrire un script pour dépanner un collègue. C’est assumer de nouvelles responsabilités, souvent invisibles, mais essentielles : sécurité, pérennité, support, gouvernance. Sans une base solide, on perd vite en crédibilité.

Voici la stack que j’ai mise en place pour relever ce défi.


1. Gouvernance et support

  • GLPI
    J’ai choisi la version on-premise plutôt que cloud. L’outil est léger, personnalisable et couvre parfaitement les workflows de gestion des incidents. En prime, il gère le parc informatique et le référencement des fournisseurs. Un indispensable pour structurer la gestion interne.
  • GitLab interne
    Robuste et fiable, il centralise nos développements. Ses fonctionnalités de gestion de projet sont appréciables, même si la gestion globale des ressources reste limitée.

2. La brique Data

  • Talaxie
    Un fork open source de Talend, qui nous permet de bâtir des jobs efficaces pour la récupération et la transformation de données.
  • TeamCity
    Construire des jobs, c’est bien. Les orchestrer de manière fiable, c’est encore mieux. Là aussi, version on-premise, pour garder le contrôle.

3. La stack de développement

  • Python
    Idéal pour les projets data et les traitements rapides.
  • Java Spring Boot + React
    Un duo éprouvé : Java assure un backend robuste, React/Typescript offre un frontend moderne et évolutif. Ensemble, ils forment un socle solide pour nos applications internes.

l'équipe, le point central

4. Et surtout : l’équipe

Les outils, aussi performants soient-ils, ne suffisent pas. Le cœur de ma stack, c’est une équipe interne solide, capable d’innover, de maintenir et de faire vivre ce système au quotidien.